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  • : Bienvenue en mon antre, antichambre de mon Histoire, témoin intime de l'évolution de la soumise novice que je suis, retraçant les voyages de l'âme et du corps...
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Derniers Commentaires

Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 22:48




 Je confirme, je préfère vraiment Grand Corps Malade, dont je vous parlais hier !!


Par Son elle/ève - Publié dans : Humeur de chienne
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Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 14:56




Parfois la femme boude la soumise, lui tourne le dos, évite de la regarder en face....
Par peur, par refus de cette partie d'elle même qu'elle ne maîtrise pas, peur de la perte de contrôle, de l'abandon total, de la puissance des pulsions et désirs qui animent cette "autre" aussi.
Mais la soumise, elle, est attentive à la femme, cherche en permanence à maintenir le dialogue.
Elle lui dit, ne te détourne pas, regarde-moi, n'aies pas peur, ne vois-tu pas que nous sommes une et une seule ?
Je suis là, je suis toi, ne te laisse pas impressionner par les couleurs qui sont miennes... le noir peut être lumineux et le rouge n'est pas forcément dangereux...

Donne-moi la main, avançons ensemble...

Sans toi je ne suis rien et sans moi, ne le vois-tu pas?
Ton corps et ton regard sont éteint !

Par Son elle/ève - Publié dans : Des mots d'elle
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Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 12:40

 

Nous roulons quelques minutes et la voiture s’arrête à nouveau, juste après avoir roulé sur des graviers.

Je ne sais pas si nous sommes arrivés, mais les graviers en tout cas laissent à penser que nous ne sommes plus en pleine campagne.

J’espère qu’il ne va pas me faire sortir nue cette fois !

Je l’entends qui ouvre le coffre puis ma portière.
« Viens elle/ève nous sommes arrivés »


Bon apparemment je vais devoir sortir comme ça, super !

Je sors comme je peux de la voiture, sa main à nouveau sur ma tête pour éviter que je ne me cogne.

« Avance un peu, je vais attraper ton imper »
Ouf ! Bon, il est peut être pas si méchant que ça…
« Tiens, prends le »
Il me met l’imper dans les mains !!

Le ton est donné, je ne dois pas attendre de Maître A qu’il soit prévenant à mon égard.

Une idée me vient, je rigole intérieurement. Je me dis que mon Guide a dû le briefer : « tu la tiens serré hein, tu laisses rien passer ! ».

C’est qu’Il est comme ça mon Guide, pointilleux, exigeant… Tout doit être under control.
Et même si cela me fait rager parfois, je dois bien avouer que c’est ce qu’il me faut.


Maître A me saisit le bras droit et nous commençons à avancer, lui d’un pas décidé et moi d’un pas hésitant. Il doit s’en rendre compte et ralenti la cadence.
« N’aies crainte, le sol est plat pour le moment »
« Fais attention, il y a trois marches »

J’entends une porte qui s’ouvre, nous entrons et mes talons claquent sur le carrelage.

« Bonjour, comment s’est passé ton voyage elle/ève ? »
Une femme, quelle joie !! Je ne vais pas rester seule avec lui… Ouf, je respire
« Bien, merci »

Quelques secondes se passent, une idée me vient. Et si elle n’était pas soumise mais Domina, Ah non, pas ça, s’il vous plait, pas ça !
« Je suis oasis, la soumise de Maître A. Sois la bienvenue chez nous »
Ouf, je suis rassurée, elle a l’air sympa et a une voix très douce.

Maître A intervient
« Donne ton imper elle/ève je te prie »
Je lâche l’imper, j’entends qu’il détache le mousqueton à mes poignets.

« Oasis, tiens, occupe toi d’elle.
Attache sa chaîne au crochet près de la cheminée et installe la sur le tapis. Offre lui un café, un thé, ce qu’elle veut… Mais ses mains doivent rester sur ses cuisses.
Aussi tu t’en occuperas comme il se doit.
Tiens lui compagnie jusqu’à mon retour. Je vous autorise à parler mais ne fais pas ta bavarde oasis, elle ne doit rien savoir de ce qui l’attend.

Tu as bien compris ? »
« Oui Maître »
« Bien, je vais prendre ma douche alors… A tout à l’heure vous deux »

« Allez, viens ma belle, je vais t’installer.
N’aies pas peur, il a l’air dur comme ça mais c’est un bon Maître.
Je te conseille cependant de réfléchir avant de lui désobéir… Il peut être très ingénieux quant il s’agit de faire passer l’envie de désobéir.

Mais ne t’inquiètes pas je reste à tes côtés.
Si tu as besoin de quoi que ce soit n’hésite pas, si je peux, je le ferai…
Par contre, tu as entendu, ne me poses pas de question sur la suite, je n’ai pas le droit de te répondre »
« Merci oasis »

Pendant qu’elle me parlait, elle m’a installée à genoux sur un tapis moelleux et a accroché ma chaîne. Le mur ne doit pas être très loin car elle n’est pas trop tendue.
« Bien, c’est parfait, tu es très jolie ainsi tu sais ! Tu veux boire quelque chose, un café, un thé ? »
« Je voudrais bien un grand verre d’eau fraîche s’il te plait, j’ai très soif »
« Tu veux un gâteau avec, ou autre chose ? »
« Non merci, juste de l’eau s’il te plait »
« Ok, je vais chercher ça, je reviens vite. Détends toi, je te sens crispée… Tout va bien se passer, tu vas voir ! »

Par Son elle/ève - Publié dans : Des rêves d'elle
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Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 12:26



 

Par Son elle/ève - Publié dans : Humeur de chienne
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Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 01:36


Bousculez-moi, outragez-moi, profanez-moi
Prenez tout et surtout ce qui n'appartenait qu'a moi!

Possédez-moi, faites de mon âme et mon corps Votre empire,
Soyez mon Puissant, dictez Vos lois, imposez-moi Vos désirs.

Je Vous en prie mon Guide, soyez mon La, ma Boussole,
Mon Astre, mon Souverain, emportez-moi dans des chevauchées folles!

À Votre contact je vibre, je palpite, j'exulte et j'explose
J'ai envie de crier ma reconnaissance, en vers ou en prose

Exprimer ma joie, ma fierté, mon besoin, mon bonheur
Hurler ma dévotion envers Vous, mon tendre Révélateur...

Alors je couche ces quelques vers sur une page blanche,
Bien incapable de décrire pleinement cette sensuelle avalanche

Par Son elle/ève - Publié dans : Mes vers pour Lui
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Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 00:07


 

 

Une autre forme de poésie, moins académique... plus urbaine.

Néanmoins un même amour des mots et de leur musique !!

Et puis ce texte découvert il y a peu me fait tellement penser à Vous mon Guide!

 

 

 

 

 

Comme une évidence

 

 

En fait ça fait un moment que se croisent dans ma tête

Des mots et des douceurs qui pourraient faire un texte

Un truc un peu différent, je crois que ça parlerait d’elle

Faut avouer que dans mon quotidien, elle a mis un beau bordel

Mais j’ai un gros souci, j’ai peur que mes potes se marrent

Qu’ils me disent que je m’affiche, qu’ils me traitent de canard

C’est cette pudeur misogyne, croire que la fierté part en fumée

Quand t’ouvres un peu ton cœur, mais moi cette fois je veux assumer

J’ai un autre problème, il est peut être encore plus lourd

C’est que t’as pas droit à l’erreur quand t’écris un texte d’amour

Moi, les trois prochains couplets, je voudrais que ça soit des bombes

Si j’écris un texte sur elle, je voudrais que ça soit le plus beau du monde

Elle mérite pas un texte moyen, j’ai la pression ça craint

Fini de faire l’intéressant avec mes voyages en train

Là c’est loin d’être évident, moi je sais pas comment on fait

Pour décrire ses sentiments quand on vit avec une fée

Il faut avouer qu’elle a des yeux, ils sont même pas homologués

Des fois ils sont verts, des fois jaunes, je crois même que la nuit ils sont violets

Quand je m’enfonce dans son regard, je perds le la je n’touche plus le sol

Je me perds profondément, et j’oublie exprès ma boussole

Depuis que je la connais, je ressens des trucs hallucinants

Je me dis souvent que j’ai eu de la chance de lui avoir plu, sinon j’aurais jamais su qu’un rire pouvait arrêter la Terre de tourner

J’aurais jamais su qu’un regard pouvait habiller mes journées

Je comprends pas tout se qui se passe, y a pleins de trucs incohérents

Depuis qu’elle est là rien n’a changé, mais tout est différent

Elle m’apporte trop de désordre, et tellement de stabilité

Ce que je préfère c’est sa force, mais le mieux c’est sa fragilité

Ce n’est pas un texte de plus, ce n’est pas juste un poème

Parfois elle aime mes mots, mais cette fois c’est elle que mes mots aiment

Je l’ai dans la tête comme une mélodie, alors mes envies dansent

Dans notre histoire rien n’est écrit, mais tout sonne comme une évidence

J’ai redécouvert comme ça réchauffe d’avoir des sentiments

Mais si tu me dis que c’est beaucoup mieux de vivre sans, tu mens

Alors je les mets en mots et tant pis si mes potes me chambrent

Moi je m’en fous, chez moi y a une sirène qui dort dans ma chambre

J’avais une vie de chat sauvage, elle l’a réduite en cendres

J’ai découvert un bonheur tout simple, c’est juste qu’on aime être ensemble

On ne calcule pas les démons du passé, on n’a pas peur d’eux

Moi si un jour j’suis un couple, je voudrais être nous deux

Y a des sourires et des soupires, y a des fou rires à en mourir

On peut s’ouvrir et s’en rougir, déjà se nourrir de nos souvenirs

Les pièges de l’avenir nous attendent, mais on n’a pas peur d’eux

Moi si un jour j’suis un couple, je voudrais être nous deux

Et si c’est vrai que les mots sont la voix de l’émotion

Les miens prennent la parole pour nous montrer sa direction

J’ai quitté le quai pour un train spécial, un TGV palace

On roule à 1000km/h, au dessus de la mer, en première classe

Et si c’est vrai que les mots sont la voix de l’émotion

Les miens prennent la parole pour nous montrer sa direction

J’ai quitté le quai pour un train spécial, un TGV palace

On roule à 1000km/h, au dessus de la mer, en première classe





 

Par Son elle/ève - Publié dans : Le coin des poètes
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 23:15
  



Honte à toi qui la première

M’as appris la trahison,

Et d’horreur et de colère

M’as fait perdre la raison !

Honte à toi, femme à l’œil sombre,

Dont les funestes amours

Ont enseveli dans l’ombre

Mon printemps et mes beaux jours !

C’est ta voix, c’est ton sourire,

C’est ton regard corrupteur,

Qui m’ont appris à maudire

Jusqu’au semblant de bonheur ;

C’est ta jeunesse et tes charmes

Qui m’ont fait désespérer,

Et si je doute des larmes,

C’est que je t’ai vu pleurer.

Honte à toi ! J’étais encore

Aussi simple qu’un enfant ;

Comme une fleur à l’aurore,

Mon cœur s’ouvrait en t’aimant.

Certes ce cœur sans défense

Put sans peine être abusé ;

Mais lui laisser l’innocence

Etait encore plus aisé.

Honte à toi ! Tu fus la mère

De mes premières douleurs,

Et tu fis de ma paupière

Jaillir la source des pleurs !

Elle coule, sois-en sûre,

Et rien ne la tarira ;

Elle sort d’une blessure

Qui jamais ne quérira ;

Mais dans cette source amère

Du moins je me laverai,

Et j’y laisserai, j’espère,
                            
                                                    Ton souvenir abhorré.


                                                       
Poème d'Alfred de Musset.

 

 

 

 

 

 

Par Son elle/ève - Publié dans : Le coin des poètes
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 22:03

Mon Guide refuse que mon corps porte d'autres marques que les Siennes...

A ce titre les marques de bronzage me sont interdites sous peine de sanction.

Fûtée, la vilaine petite soumise s'est dégotté un petit gadget idéal sur internet pour éviter les punitions !!







Par Son elle/ève - Publié dans : Humour de chienne
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 00:22


 

Je me déconnecte, je fume une cigarette. Je sens le manque de Vous déjà.

J’enlève ma nuisette, éteins la lampe de chevet et ferme les yeux.

Mon esprit vagabonde, se rappelle Vos mots… Mes mains gentiment partent en exploration. Elles décrivent des cercles autour de mes seins, parcourent la peau fine qui, de suite, a la chair de poule.

Les tétons se dressent, gourmands.

Avec la paume des mains, je les agace. Je les laisse pour revenir aux seins, le désir monte et l’envie de caresses plus appuyées aussi.

C’est avec mes ongles que j’en fais maintenant le tour… Puis les saisis à pleines mains et les pétris doucement en terminant le geste en pinçant les tétons entre le pouce et l’index.

Hummm le résultat est immédiat, je crois qu’il existe un fil invisible qui fait que lorsque l’on touche mes seins, les contractions se déclenchent dans mon vagin.
Ma main gauche descend pour titiller mon bouton…

Des mouvements de bas en haut de mon doigt pour que les chairs s’ouvrent et que le bouton se dégage.

Hummm, contact électrique, décharge qui irradie.

La chaleur envahit ma chatte.
Mes jambes sont pliées. Appuyée sur mes pieds, mon bassin se soulève et roule pour accentuer les pressions sur mon bouton.
Mon vagin se contracte, envie d’être remplie…
J’imagine que Vos doigts viennent me fouiller...
Quelques pressions appuyées sur mon point G et l’orgasme monterait très vite.

Mais j’ai envie ce soir d’essayer de prendre du plaisir autrement, de partir à la découverte; d’étendre les gammes pour que Vous puissiez jouer de Votre instrument de différentes façons.

Je connais le plaisir combiné du vagin et du clito… Facile, rapide, efficace, mais le clito seul ne m’a jamais donné d’orgasme.

Les pressions de ma main gauche s’accentuent. J’appuie et relâche en même temps que je bouge mon bassin et contracte mon périné.

Je pense à notre conversation et j’imagine que Vous venez tracer Vos O à la naissance du cou, là où il s’attache aux épaules.

Hummm, je suis très sensible du cou et cela m’excite terriblement.

Ma main droite s’occupe toujours de mes seins, les pétrissant plus fortement à mesure que le plaisir monte, pinçant les tétons gorgés de désir.

Je sens le plaisir qui monte mais n'arrive pas à exploser…

Je sais ce qu’il me faut, des pressions à l’entrée de mon vagin.

Je passe ma jambe droite par-dessus la gauche. Je place les doigts de ma main gauche devant l’entrée de mon antre et le pouce sur mon bouton.

Je serre fort les jambes et reprends mes mouvements de bassin.

Mes doigts se plaquent et se retirent de l’entrée de mon antre, j’imagine que c’est le ventre de mon Guide qui vient claquer lorsqu’Il me possède.
Mon pouce exerce des pressions fortes et saccadées en tous petits mouvements de bas en haut sur mon clito…
Ma main droite pince plus fort mes tétons et la vague, enfin, déferle, explose et se poursuit en contractions saccadées de mon vagin… Rapides d’abord puis s’espaçant…

La marée du plaisir est passée.


Bien à Vous,

Votre petite chienne

Par Son elle/ève - Publié dans : Des bouts de nous
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Mercredi 13 août 3 13 /08 /Août 19:30

 Mon Guide a une collection de fouets magnifique !!

Je vous laisse admirer...
                       
                    







Avec Lui tous les jours je me régale !!


Pardon mon Guide ?

Siffffffffle.....Aïeuuuuuu !

Tiens Il en a un nouveau, je le connaissais pas celui-là !!








Par Son elle/ève - Publié dans : Humour de chienne
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